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28 janvier 2013 1 28 /01 /janvier /2013 19:36

Donnons des ailes aux sandales de Lulu et aux sabots d'Isidore...

 

J1-55

Le 23 mars 2012, quand Lulu est parti de Salins-les-Bains, il a voulu faire une halte à Port-Lesney, village natal de son ami Gaby MAIRE, assassiné à Vitoria au Brésil le 23 décembre 1989. 

 

A la suite de la commémoration de la mort de Gaby le 23 décembre 2012, dont le thème était : « la marche de Lulu pour la paix et son appel incessant pour le désarmement nucléaire », les amis de Gaby et de Lulu ont envie de poser un acte, un pas pour rejoindre et amplifier son action.

Ils retiennent donc la date du samedi 23 mars 2013, (1 an après le départ de Lulu): que tous ceux qui soutiennent cette cause se joignent à la marche qui se prépare dans le Jura, ou organisent une marche ou autre action dans les autres départements ou lieux où ils se trouvent. Ces actions pourront être relayées sur le blog « Lulu en camp volant »,  et celui des « Amis de Gaby Maire »

Cette marche dans le Jura est encore à l’état de projet et reste à affiner et organiser. Toutes les idées, les conseils, les aides sont les bienvenus. Quel type de marche pensez-vous possible ?

Quelques idées pour amorcer ce projet :

- Un RDV de convergence pour la Franche-Comté pourrait être donné aux Salines d’Arc-et-Senans.

- Bien sûr, il serait bien que nos amis les ânes soient présents.

- La journée pourrait se terminer par un lâcher de ballons avec envois de messages de paix ??? 

Soyons nombreux pour donner des ailes aux sandales de Lulu et aux sabots d'Isidore...

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 21:29

Voici des extraits de la lettre que Jean-Marie Muller a envoyé à Marc Stenger, évêque de Troyes et président de Pax Christi France en réponse à sa lettre que vous pouvez retrouver dans ce blog ICI (Clic).

 Et si vous voulez lire en entier la réponse de Jean-Marie Muller, vous la trouverez dans le blog "Lulu en camp volant"  à la date du 9 septembre (Clic).

 

 

Mon Cher Marc,

J’ai lu et relu avec la plus grande attention le texte de ta déclaration du 6 août dernier à l’occasion de l’anniversaire de la destruction de Hiroshima et Nagasaki...

Pour poursuivre notre dialogue, permets-moi de venir te dire en toute amitié comment je lis ce texte...

(…)

Tu soulignes (…) que “les puissances nucléaires” – donc chaque puissance nucléaire dont la France... – “sont confrontées à la question de savoir si précisément la possession d’armes nucléaires et la menace stratégique ne signifient pas une violation du droit de la guerre”.... Et poser cette question, c’est déjà y répondre... Et par l’affirmative... A l’évidence, l’arme nucléaire viole les deux principes fondamentaux du droit de la guerre : la “limitation” et la “proportion” de la riposte... Au demeurant, tu ajoutes : “Leur utilisation met en danger l’ensemble de la création”.

Tu ne demandes pas si l’emploi des armes nucléaires signifie une violation du droit de la guerre, tu demandes très justement si la “possession” et “la menace” des armes nucléaires signifient une violation du droit de la guerre... J’ose en conclure que la dissuasion nucléaire – qui n’est certes pas l’emploi des armes nucléaires, mais qui est l’emploi de la menace de ces armes et donc la menace de leur emploi - signifie elle-même une violation du droit de la guerre... Et cela concerne tout d’abord la dissuasion nucléaire française qui est de notre responsabilité de citoyens français...

Tu soulignes encore justement que toute utilisation de l’arme nucléaire provoquerait une catastrophe humaine irréparable...

J’ai remarqué que tu as voulu mettre en avant la responsabilité de “la communauté internationale” : “Un monde sans arme nucléaire, écris-tu, peut exister si la communauté internationale le veut vraiment.” Mais je doute fort qu’il existe réellement “une” communauté internationale dotée d’une volonté politique... Je crains qu’il ne s’agisse que d’un concept largement abstrait...

A aucun moment, tu n’envisages explicitement la responsabilité propre à la France comme l’une des “puissances nucléaires” et tu prends soin de ne pas préconiser le désarmement nucléaire unilatéral de la  France...

Mais tu prends également soin de ne pas tomber dans la facilité de demander explicitement un désarmement ”multilatéral”...

Est-ce que je me trompe si je pense que, ce faisant, tu as voulu laisser ouverte la porte du désarmement unilatéral ?

C’est pourquoi j’ai la faiblesse de considérer que ta déclaration vient susciter un débat qui prépare le terrain pour un désarmement unilatéral...

(…)

Sortir du nucléaire militaire ne nécessite aucune “transition”...

Le propre de l’exigence éthique est d’être unilatérale... Je ne saurais attendre que les autres se décident à renoncer à préparer un crime pour décider d’y renoncer moi-même...

Je ne peux pas “oublier ma responsabilité” pendant tout le temps où les autres continueront à l’oublier...

J’en viens donc à conclure que la seule interprétation de ton texte qui sauvegarde sa cohérence éthique et politique est de le lire comme une invitation pressante faite aux citoyens français que nous sommes à renoncer unilatéralement à la dissuasion française...

Sans aucun doute, une pareille décision n’affaiblirait pas notre pays sur la scène internationale, mais lui confèrerait un immense prestige...

(…)

S’il fallait comprendre ton texte comme l’expression d'un simple souhait du désarmement mondial, alors il ne saurait avoir quelque impact que ce soit sur la réalité des choses...

Attendre de “la communauté internationale” qu’elle décide l’abolition mondiale des armes nucléaires présente l’inconvénient majeur de diluer la responsabilité de tous les citoyens et de tous les Etats dans une impuissance collective...

Cela dure depuis des décennies et cela risque fort de durer encore des décennies...

Les textes du Concile Vatican II que nous citons datent de cinquante ans et, depuis, rien, strictement rien d’important n’a été accompli dans le voie du désarmement nucléaire...

Ne devons-nous pas penser que face à la préparation du meurtre nucléaire qui se fait en notre nom, il faut que notre parole soit : “Non ? non” et que “ce qu’on y ajoute vient du Malin”  (Matthieu, 5, 37) ?

J’espère que tu ne m’en voudras pas de t’écrire cette lettre en la communiquant à quelques autres personnes...

Il s’agit en quelque sorte d’une lettre “ouverte”, publique comme ton intervention à laquelle elle voudrait répondre...

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2 septembre 2012 7 02 /09 /septembre /2012 13:46

Déclaration de Pax Christi

à l'occasion de l'anniversaire de la destruction de Hiroshima et Nagasaki

 

hiroshima.jpgLes villes japonaises d'Hiroshima et de Nagasaki ont été détruites en 1945 par l'arme atomique. En ces jours anniversaires du lancement des bombes atomiques, les 6 et 9 août, nous nous souvenons des hommes et des femmes qui ont perdu leur vie, mais aussi des quelques survivants et de ce qu'a été depuis lors leur destin. Dans la prière et le recueillement nous vénérons leur mémoire et nous voulons affirmer leur éminente dignité par notre promesse de ne jamais les oublier.

Les jours anniversaires d'Hiroshima et de Nagasaki nous renvoient à l'actualité de notre responsabilité par rapport à une politique de désarmement nucléaire. Un monde sans arme nucléaire peut exister si la communauté internationale le veut vraiment. Mais on a l'impression que notre société s'est totalement habituée à regarder l'arme atomique comme un élément constitutif de notre sécurité, qu'on n'a plus aucune considération pour le danger qui y est lié. Le discours politique et les stratégies militaires y contribuent dans la mesure où ils nous présentent aujourd'hui les armes atomiques comme pur moyen de dissuasion, dont l'utilisation n'est en réalité pas du tout prévue, car leur seule existence provoque précisément l'effet dissuasif qu'on veut obtenir.

Les catastrophes humanitaires de Hiroshima et de Nagasaki peuvent cependant se renouveler. Les 20000 éléments d'armement atomique qui existent aujourd'hui sont en partie maintenus prêts pour l'intervention et on n'est pas à l'abri d'un déclenchement non programmé pour cause de défaillance technique ou d'erreur humaine. Et toute intervention d'armes atomiques, qu'elle soit voulue politiquement ou qu'elle ne soit pas intentionnelle, bouleverse massivement et sur la durée l'environnement et la chaine alimentaire. Les organismes d'aide, au regard des destructions que les armes atomiques occasionnent pour l'homme et la nature, ne pourraient absolument rien redresser.

Lors de la conférence de révision du traité de non-prolifération de l'armement nucléaire à Vienne, en mai 2012, le Vatican a attiré de façon très nette avec quinze autres états l'attention sur ce danger et a encouragé les puissances atomiques à vérifier la compatibilité des armes nucléaires avec le droit international et les droits humanitaires. Les puissances nucléaires sont confrontées à la question de savoir si précisément la possession d'armes nucléaires et la menace stratégique ne signifient pas une violation du droit de la guerre. Leur utilisation met en danger l'ensemble de la création. C'est la raison pour laquelle Vatican II a parlé il y a maintenant cinquante ans d'un « délai ... qui nous est concédé d'en haut », « pour que ... nous trouvions les méthodes qui nous permettront de régler nos différends d'une manière plus digne de l'homme ». « La course aux armements est en effet une des plaies les pires de l'humanité et lèse les pauvres d'une manière intolérable ». « Et il est bien à craindre que, si elle persiste, elle n'enfante un jour les désastres mortels dont elle prépare déjà les moyens ». (Concile Vatican II, l'Eglise dans le monde de ce temps §§ 81). Un certain nombre d'épiscopats, dont celui du Japon, l'ont rappelé dans les temps récents.

En cet anniversaire il est important que nous redisions notre volonté de poursuivre notre engagement pour la suppression de tout armement nucléaire. Le sacrifice d'Hiroshima et de Nagasaki demeure un avertissement adressé à toute l'humanité de proscrire à tout jamais l'arme qui apporte la mort.

 

Paris le 6 août 2012

 

+Marc STENGER

Président de Pax Christi France

Evêque de Troyes

 

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26 août 2011 5 26 /08 /août /2011 14:17

Rappel :

 

Les Amis de Gaby Maire se joignent au Cercle de Silence de Dole pour appeler à la conférence-débat :

"Vers une culture de la non-violence" Jean-Marie-MULLER-copie-1.jpg

Avec Jean-Marie Muller

Le vendredi 16 septembre 2011 à 20h 15

Manège de Brack  Salle des Fêtes de Dole

Lors de leur assemblée générale du 21 mai 2011 à Port-Lesney les Amis de Gaby ont voté, à l'unanimité, une motion :

"Pour un désarmement nucléaire unilatéral"

Ils reprennent ainsi l'intuition et le combat de Gabriel Maire qui, avec Guy Marie Riobé, évêque d'Orléans, affirmait, en 1973, que :

"la menace de l'arme nucléaire, qui implique par elle-même le consentement au meurtre de milliers d'innocents, est le reniement de toutes les valeurs d'humanité qui fondent notre civilisation."

Nous comptons sur la présence d'un grand nombre d'entre vous pour venir débattre de ces problèmes le vendredi 16 septembre, avec un des spécialistes  et militant de la non-violence.

 

Photo empruntée sur http://desobeissancecivile.org/

 

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18 juillet 2011 1 18 /07 /juillet /2011 20:24

JM-Muller.jpg

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24 mai 2011 2 24 /05 /mai /2011 09:50

 Le 10 juillet 1973, le Père Guy-Marie Riobé, évêque d’Orléans publie un communiqué intitulé « NON AUX ARMES NUCLÉAIRES ». Il affirme notamment :

"Aucun intérêt politique et économique d'aucun peuple ne saurait justifier l'emploi de la bombe atomique.

"Prétendre que c'est une force de dissuasion, c'est supposer qu'on a l'intention de s'en servir si l'on est attaqué. On n'a pas le droit de nourrir pareil projet.

"La France serait si grande si elle affirmait à la face du monde : "J'ai le pouvoir de faire des expériences nucléaires, et de posséder la bombe atomique : j'y renonce pour le bien de la Paix."

"Il faut croire à la puissance des valeurs morales, à la force de la non-violence.

"Tout français soucieux d'un avenir pacifique se doit de manifester de manière efficace sa désapprobation la plus énergique en regard de toute politique d'escalade atomique."

Bientôt quarante ans après, cette déclaration apparaît non seulement d’une courageuse pertinence pour hier, mais aussi d’une étonnante actualité pour aujourd’hui.

L’enjeu de l’arme nucléaire n’est pas d’abord militaire ; il est moral, il est politique et, en premier lieu, il est spirituel. Il est existentiel. La menace de l’arme nucléaire, qui implique par elle-même le consentement au meurtre de millions d’innocents, est le reniement de toutes les valeurs d’humanité qui fondent notre civilisation. Par la préméditation du meurtre nucléaire, nous avons déjà nié les valeurs que nous prétendons défendre. Comment pourrions-nous, sans nier la dignité de l’humanité de l’homme, consentir au meurtre nucléaire ?

Le caractère criminel de l’emploi de l’arme nucléaire a été clairement dénoncé par la résolution de l’ONU du 24 novembre 1961. L’Assemblée Générale déclare : « Tout État qui emploie des armes nucléaires et thermonucléaires doit être considéré comme violant la Charte des Nations Unies, agissant au mépris des lois de l’Humanité et commettant un crime contre l’Humanité et la civilisation. »

Certes, la dissuasion n’est pas l’emploi de l’arme nucléaire, mais elle est l’emploi de la menace, et l’emploi de la menace comporte directement la menace de l’emploi. Dès lors que l’emploi de l’arme nucléaire serait un crime contre l’Humanité, la menace de l’emploi est déjà criminelle.

Ce qui est effrayant dans la dissuasion nucléaire, au-delà des risques de mort et de destruction qu’elle fait peser sur les hommes, c’est la déraison des hommes qui s’enferment dans une logique nihiliste de mort et de destruction.

Certes, dans le domaine de la stratégie nucléaire, l’argument moral ne convaincra probablement pas les décideurs politiques et militaires. Dans ce domaine, un prétendu réalisme prétend toujours récuser un prétendu moralisme. Cependant, il se trouve que l’im-moralité intrinsèque de l’arme nucléaire se double de son in-faisabilité stratégique. Le simple réalisme nous oblige à reconnaître que les armes nucléaires ne nous protègent d’aucune des menaces qui peuvent peser sur notre sécurité (terroriste, nationaliste, économique, climatique…) Par contre, du fait même qu’elles sont en alerte constante, elles constituent une menace pour nous et les autres peuples.

C’est pourquoi, en fidélité aux convictions évangéliques du Père Gabriel Maire, qui était en plein accord avec le Père Guy-Marie Riobé, les membres de l’Association "Les Amis de Gaby Maire" réunis à Port-Lesney (39) le 21 mai 2011, se prononcent en faveur du désarmement nucléaire unilatéral de la France.

 

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10 avril 2011 7 10 /04 /avril /2011 21:32

Le 10 juillet 1973, Guy Riobé publie le communiqué suivant :

NON AUX ARMES NUCLÉAIRES

"Au moment où un grand nombre de peuples sont atteints de découragement et de révolte devant la perspective d'un nouveau développement des armes nucléaires, je me dois, dans ma conscience d'homme, de chrétien et d'évêque, en plein accord avec de multiples et fortes déclarations de l'Église, de dire "non aux armes nucléaires"; et ceci indépendamment de toute considération d'ordre international.

"Aucun intérêt politique et économique d'aucun peuple ne saurait justifier l'emploi de la bombe atomique.

"Prétendre que c'est une force de dissuasion, c'est supposer qu'on a l'intention de s'en servir si l'on est attaqué. On n'a pas le droit de nourrir pareil projet.

"La France serait si grande si elle affirmait à la face du monde : "J'ai le pouvoir de faire des expériences nucléaires, et de posséder la bombe atomique : j'y renonce pour le bien de la Paix."

"Il faut croire à la puissance des valeurs morales, à la force de la non-violence.

"Tout français soucieux d'un avenir pacifique se doit de manifester de manière efficace sa désapprobation la plus énergique en regard de toute politique d'escalade atomique." (…)

 

Le cardinal Jean Daniélou, oubliant la position prise naguère par l'évêque de Rome, se chargera de venir rappeler à l'évêque d'Orléans que sa prise de position n'engage que lui. D'abord, dans un article publié dans le Figaro du 16 juillet et intitulé « L'évêque et l'amiral », le célèbre jésuite écrit : "Un catholique a le droit de défendre la position de Mgr Riobé. Mais un catholique a un droit égal à prendre la position contraire. Il s'agit d'un problème personnel, non d'une position d'Église." Puis, le lendemain, il précise sa pensée sur France-Inter : "À mon avis, c'est un problème qui n'engage pas la conscience chrétienne en tant que telle, mais sur lequel des chrétiens peuvent avoir des options différentes. Et ce qui me gêne, ce n'est pas qu'il y ait des chrétiens qui prennent position contre cette explosion (je trouve que ceci est parfaitement légitime), mais que ce soit un évêque; car, à partir de ce moment-là, l'autorité de l'Église a l'air d'être engagée." En clair, selon le raisonnement du cardinal, un catholique a le droit de défendre la position de l'évêque d'Orléans, mais, en revanche, l'évêque d'Orléans n'a pas le droit de défendre sa position. ( …)

 

Le 17 juillet, un prêtre de Saint-Claude, Gabriel Maire, écrit à Guy Riobé en ces termes : "Je tiens à vous exprimer toute ma sympathie, et l'appui de prêtres et de chrétiens qui, contrairement à ceux qui vous condamnent, pensent qu'il était de votre devoir de parler comme vous l'avez fait. C'est une position de fidélité à L'Évangile. C'est cette fidélité à l'Évangile qui me pousse, comme d'autres et avec d'autres, à faire mon possible pour éveiller les consciences à la nécessité de bâtir la paix. Quelle pauvreté d'arguments quand on envoie les évêques et les prêtres à la pèche aux "âmes" ! Je ne conteste pas la liberté de penser du cardinal Daniélou. Je regrette seulement qu'il s'appuie davantage sur des raisonnements humains (donc plus "politiques" que les vôtres, quoi qu'il en dise !) que sur la folie de l'Évangile, et qu'il utilise pour ce faire sa "qualité" de cardinal (un cardinal pourrait faire taire un évêque, précisément comme un amiral ferait taire un capitaine de vaisseau !)"

"La folie de l'Évangile" conduira Gabriel Maire à aller vivre au Brésil parmi les pauvres, à prendre décidément leur parti face aux riches et aux puissants, et à lutter avec eux pour leur dignité et leur liberté. Pour cela, il sera assassiné le 23 décembre 1989.

 

"Guy Riobé, Jacques Gaillot, Portraits croisés" par Jean-Marie Muller, Paris, Desclée de Brouwer, 1996)

Guy Riobé, Jacques Gaillot

 

 

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23 décembre 2010 4 23 /12 /décembre /2010 09:25

  « L’urgence de délégitimer l’arme nucléaire »

 

 

Voici la lettre ouverte aux évêques de France que Jean-Marie MULLER leur a envoyé.

 

Cliquez sur le lien :

 

format PDF

 

 

 

 

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Présentation

  • : Les amis de Gabriel MAIRE
  • : L'association "Les amis de Gabriel MAIRE" a été créée après l'assassinat de Gaby au Brésil le 23 décembre 1989. . A associação "les Amis de Gabriel Maire" foi criada depois da morte do Padre Gabriel em Brasil o 23 de dezembro de 1989.
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